Circonstances centrifuges
Ç Ich wandte mich und sah an alles Unrecht das geschah unter der Sonne È [1] |
0 - Sans
autre titre
On dit, on dit et redit indfiniment
On pte, on rpte la rengaine des
abrutis fieffs
Au sommet de la pyramide sans base
Avec son gros Ïil tronqu
Comme un bifton de 1 buck
A la base comme au sommet - plus de
diffrence
Sauf pour les rares, les Absents du
registre.
Que ne ferait-on pas pour naitre pas
On dit, on rpte, on pte
Pas de contrepteries, aujourdĠhui
La pataphysique cĠest la logique
Des lments de langage, aujourdĠhui
LĠOLIPO est un lollypop dans la bouche
En cul de poule des publicits lullaby
Cul racoleur coll sur le net, pourtant
Il nĠy a pas de rapport sexuel
En effet il y a la pornographie
Le regard de la camra
Sur ton Con Irne
Histoire de lĠÏil banalis
LĠÏuf dur dans le cul de Simone
En Bataille
Avec une capote
Un masque chirurgical
Sur le nez dĠEBISU
Moi je porte un masque de Nï
Je glisse cool en surface polie
Revenant de souvenirs de voyage
Espace n du temps
Je vogue mais
Mais É mm avec
Sa sentence contre toute vrit vraie
On dit sur tout et rien
Ne sentant pas le trucage
Mais accusant la MATRIX
Pour en jouir É en effets
On dit comme on pte ;
cĠest votre opinion
Et on opine sans couilles, sans pine
Transparence du monstre
Qui ne montre plus rien que le nant
Croissant.
Et faute de PAIN on mange des
Croissants de lune brioch
Sur fond fondant de Drapeau Noir
Sans espoir : ouf se dit
Ç On È
Voici la libert revenue On court au Monoprix
On court partout o sĠouvre des
shopping MOLE (des taupinires)
Somms consommer
(Un
gai fourmilier bouffe les fourmis chinant dans le souk du Pre Svre.
mme
en cauchemars tout conduirait a ?)
a court, en chasse, assomms de
slogans dguiss
En : news faking adaptes aux aujourdĠhui
De vrits dernires trouvailles
De savants pas assez fous pour ne pas
penser
Aux seules rmunrations de BIG BANG
PHARMA
(Et
comme il est 18h - mon heure lunatique, je vais boire mon PASTIS H.B –
publicit
non paye, hlas ?)
Ha ces savants, ces grands petits
bonhommes
De lĠOrganisation
Mondaine de lĠAsant
Les gigolos de lĠEuro pisse
Ha quelle merveille !
Mme les magnanimes abjectes
Les dconstructeurs,
les nihilistes dĠEtat
LĠintelligentsia France info connexion
Homard lĠamricaine au Coca A.A
Frres Trois Points et rles MOPSE
Les magnanimes de lĠabjection
culbuteurs
Fisteurs en roman photo ... Tlrama et
Lib
France ... interlopes clean
Et les contre le grand Micron pour
sĠassurer la redite
De la Start-Up F/RANCE. On dit oui et
non.
(Je
retiens ma colre mais je nĠirais pas jusquĠ me salir par repentance solidaire
pour migrer en populisme. Je nĠai pas cracher sur vos tombes vous tes
incinrs et pour complaire vos nants il nĠy eut quĠune dride drision pour
rite, dgoulinant de vos enfers pavs de paradis de plastique recyclable. Tiens
voil la sale trogne de Greta Garbage. Je me torche le cul avec le journal qui
la loue, la pute, mais mon cul trouve cela indigne de lui, alors je crache du
pain plein de kekette chup bien rouge avec des tripes la mode des camps sur
le masque dĠun pote de chambre et barbouille le newspaper avec ... ha comme je
voudrais le faire bouffer tous ces mesmriss numriss, un mtre de moi
avec leurs regards torves dtourns, comme sĠils nĠtait pas assez comptant
pour les statistiques : plus de 99% dĠabrutis dont, inclus, les supposs 1% de
gross (vulgaire) fortune ...!)
A.
(F)XV
Un mme chemin cach
A la pointe de lĠHiver
Ce Chemin nous conduit
la source de la lumire
A la Nuit.
Dans la Nuit du : ES GIBT
Le jour, le quotidien
Les habitudes affinent lĠoubli.
Oubli nitreux du repentir
Oubli anmique du pardon
quand lĠun lĠautre. SĠajourne lĠclair du temps
LĠunique accs (...).
Je mĠtonne sans vraiment mĠtonner
Un autre temps a commenc (XX), dansent
Les limites remmores (XXI)
LĠEpe de Feu exalte (XVI) au sommet
de la montagne
Tancent sans transe
Font clater la gangue o le Bleu
Cristal
Le Bleu Cristal de la NUIT qui É
SĠtait assoupi
Alors comme toujours
Tout semble recommencer
Se divertir
Et progresser.
Au nom du virus YHWH
[2]
NĠest-ce
point risible
lorsque
sur la montagne invisible
une
Colre Froide observent
ses
promoteurs ?
|
||
1- (Souvenirs dĠoutre temps)
Sainte Tignasse de Loyola
Et autres des Villas
Vous tes des perruques
Sur la tte dĠun Ç dieu È
barbu et chauve
Sur le mont du mme nom, pel.
Sale perruque de Loyola
Et autres des Villas
Retournez, oui, retournez chez Jhovah
Tmoignez avec Allah, lĠacaritre
lunatique
Allez manger votre poisson
Pas dĠaoli pour les Paul troncs
Le vendredi - quoi vendre sinon tout
Dit ?
Le cri de jsus christ
Montrez aux ennemis du Porc Saint
Montrez votre fielleuse sympathie
Ïcumnique nique, nique mimique de
Dominique inquisiteur au chapelet
langoureux
Vous tous contre lĠAnthropos, le Grec
Le Grec affirmant la Beaut, la Vrit
(Aprs quoi la Bont est un accident)
Tristes figures du Latran
Coincer dans vos rhtoriques
Homo, latin de tous les dtergents
Plus blanc que blanc - et finalement
noirci !
Sale tignasse de Loyola
Vous tes bien la perruque
Du microbe, du dieu virus
Ni Vit, ni Ruse – et Russe encore
moins
Simple mercenaire errance de la raison
Erreur de draison triomphante
Dieu virus, microbe
Sale Tignasse des villas
Ou aitres entoures des cimetires,
ruines
Adeptes honteux du darwinisme social
(Camoufl en Ç morale È
salutaire)
Positivistes vendeurs de solidarits
biaisant
Bien install dans votre port salut
Sans rivages votre fromage
O est lĠhommage vos disgrces
Droits grassouillets, iniques, obses.
O lĠhommage ce mot Grec, Christ
Mot plus grand que Ç Mais
si È il vient, il viendra ou il est venu pour repartir et faire croupir
(ou bien est-ce Epreuve ? de la sainte
Pieuvre)
O cet autre nom de Dionysos, de Shiva ?
Mensonges et hypocrisies
Bien ficels dĠamour pour une patrie
( Heimatlosen fantmes dĠun vaisseau fantme)
Vous tes des tristounets, des
christounets
(La peur du JESUVE, volcan, vous
effraie tant ?)
Vous glapissez, vous blez dans vos
enclos
Crachats
Maitres, moutons parmi les moutons
Nuages de vos proverbes
De vos livres de sagesse, truismes de
truie caquetant
Tournant comme cureuil en cage
Christounets, tristounets
Voici lĠheure des robots, hommes ?
entits carbones !
Amalgames endormis, bourrs de riens
couteuse pharmacie
Encods dĠA.D Haine, tourniquet
(garrot)
Tandis que pisse le sang, les autres
Vos DATA BANK, bang, bang !
Htatisent les convoitises les plus folles
En lĠabsence calcul du Sacr
Votre biologie sans vie dicte une
morale
Sans thique, inique qui tombe pique
dans le dsordre fusant lĠAbme,
Et prfrant la chaosmose, les sophistes de tout Jour.
Alors pour ne pas reconnaitre que nous
sommes baiss
Nous accepterions dĠtre enculs
Enculs par la Laideur ?
B
–
Et
puis É
LĠoptimisme animalier,
nie
Le pessimisme affirme, Zen
LĠabsence de tout visage
A double face demeure
lĠAnimal en lĠhomme : un reste
Aussi prfrerai-je toujours les
cristaux
Dans lesquels se souviennent les
Fleurs.
AujourdĠhui peine un Ç Corps È
Est
distingu, peine le corps
De
lĠcorch, ou bien sur le billard un futur mort espre encore
Un
mensonge de plus du Toubib
LĠaster dans la bouche verdtre
Le tiroir gris argent dcouvre au
lgiste
La vrit. Inexpressive. LĠunique
vrit
Dans ce verre terni au pied dĠargent.
Sans hasard jĠouvre les Posies de
Gottfried Benn
[3]
Livre oubli sur cette tagre de
cuisine
A ct du pot couteaux rose
Je lis, ravi
Ç Des cadavres.
Tu tremblotes, barbaque ?
Rappliquer ainsi sur ma table dissection climatise ...
parce que tĠas paum ta
graisse et cause de ton ge biblique ?? È
Ç Quant
on se mit recoudre
Enfin dans une tonnelle
sous le diaphragme ..
on trouva un nid de jeunes
rats ...
Bois dans ton vase jusquĠ
plus soif !
Petit aster ! È
Je me rve mdecin fou de joie
Dissquant ce ponte lubrique
Et cet autre vautr dans sa gloire
frigide
Je me rve plus franchement meurtrier
Sans tre criminel car selon la loi
quelle loi ? celle de la Mre
lĠOie ?
(un
jeu se prsente : case dpart : la Prison)
AujourdĠhui plus peine un corps
Car la Souffrance - le plus Haut Degr
de la Souffrance
Absent du reste du temps, demeure espac.
DĠun degr au-dessous
Du zro fictif
Nul nĠouvre plus les riens multiplis
lĠOutr.
Quand
Se rsume ce d-temps crisp
(maintenu
sur la case Prison)
PLUS DE LEIB
INTERDITE
LA SOUFFRANCE (LEID)
IL NĠY A PLUS DE CHANT (LIED)
Alors qui osera ici parler dĠamour
(LIEBĠ) ?
LĠamour tout instant est reni pour
de lĠor
Une semblance dĠor
Et le sang sur un sol tanch
NĠa plus de Pays pour esprance.
DĠailleurs lĠamour ?
Je tĠaime quand ma bite sĠrige
Ou quĠau-dessus dĠun trou bant, en
attente
Et puis quand jĠai jacul
Il ne reste que la haine du Ç
refaire È
Refaire dĠenfer peupl de si belles intensions
ï parade ... dite : publicits
enivrent
LĠamour ? Un enfant de bohme
Ou en miettes par terre ?
Ou quand parlez-moi dĠamour
( quoi a sert lĠamour É et bien
regarde moi chaque fois jĠy dcrois comme dĠautres entendirent siffler le
train, nouvelle vague jĠentends encore piafferÉ)
Dites-moi des mots tendres É
Ou ... ne dure quĠun moment
Puisque les aiguilles arrtes
Confortent le poison.
(une
horloge rouille contre un mur fissur au bord dĠun canal : case clepsydre)
Amour. Dessins improvis
Cadavre exquis
Amour espr par-del ou
Agonie toujours recommence
Rptition, reprise et puis plouf dans
le trou
Est-ce pour cela que je bois
Que je bois ce reste dĠor jaune dans ce
verre macul
De souvenirs, dĠoublis
(petits
gteaux secs au bord dĠune tasse, une chinoiserie brche :
proustien ?)
Je me rjouis, marchant sur la mer
morte
FLOOD
... to forgive is to forget
Forget it, as É once we lived on
Walking on the Water.
Silencio
(un mannequin de cire, une femme aux cheveux bleus dans une loge lĠOpra)
Et gronde le volcan
Voyez dj dans la vapeur
Se dessiner le Visage
De Celle que nous cachions
(qui
se voulait ainsi dans le Secret)
cache par nos formules lourdes comme jeu
DĠenfant, roi dans une lgende morte
La toute puissance risible de ces
formules
Affronts, affronts de nain
Gnafrons, gendarmes
Devant un gant
Guignol carlate clat
Risible le physicien rouge en salves
dĠquation jete
Sanglantes contre le mur du son
Quelque part draillant, voici
Le mur des lamentations des crtins
enchains
Canardant, placardant de phrases aussi
creuses que mesures
Tout un jargon dĠun tat hpital ...
Gmissant, un cadavre apprt
rit encore - on lĠa maquill.
Dehors le froissement, par le souffle
teint, du tissu des masques
donne lĠerreur humaine la teneur
nuclaire du rien.
Plus loin les morts vivants soumis
Regardent les yeux vitreux et secs
Les enfants jouer au docteur
Derrire son cran, il diagnostique
Ce quĠil faut, ce quĠexige le bonne
aloi
Applaudissements.
Alors gentiment
Je propose la Solution Finale :
Prenez un sac de plastique - recyclable
–
(il
nĠest pas transparent puisquĠil nĠy a plus personne dnoncer. On a respect
la consigne, pour la viande, la poubelle, oui la poubelle aux ordures mnagres
marron jaunasse et sale et que plonge le goland dĠun cri hurlant)
Prenez ce sac, noir - et blanc -
assurez vous de la parit
Mettez-le sur votre tte (et ceux de
vos compagnons soumis cette charria nouvelle).
Serrez autour du cou. Vous pouvez
mettre un peu dĠHlium pour rire un bon coup une dernire fois. Avant vous
aurez bu un bon vin bio de vignes proche dĠune centrale nuclaire dsaffecte. Du
meilleur cru ! Navr É
(
ce moment un balayeur jette un enfant rat agonisant dans lĠgout bant. CĠest
un matin pluvieux quelque part, ici ou l É)
Un dvisag blme mĠarrte
Et pinc de rides jauntres de malade
apprivois sĠcrie
- Sale nazi ! il suffit de ne rien
toucher ni avec les mains, ni avec les pieds pendant 20 minutes.
(minutes passes lĠeau de javel).
Je le regarde, souris dans lĠherbe
synthtique et lui dit
Le montrant ses messieurs experts :
Ç CĠest bien a : Lviter ou se
pendre ? È
LĠimpossible si franais ou le trop
facile suicide des fatidiques de la Peste (de Camus)
Ainsi quand lĠun se lave les mains
LĠautre ayant jet les pices
Les pices dĠargent achtent le champ
des hypocrites fructifiant.
(voici le quart dĠheure pour sortir
bb : 2m carr de trottoir. Il fait beau quelque part en France)
Nul accord
La souffrance interdite
Plus de chant ?
Une voix teinte dans le jour ajourn
Exige de se taire
La vrit, la frigide vrit a parl
Tlvise, doctorale mordante terreur
Doctrine invente sur un tas – la
tare du ptrole coul
(tout ct dcouvrez le compost É)
Depuis plus de deux sicles
La voil la dmone pare de flammes tricolores
La bouche ferme dĠun triangle de tissu
bleu toil
Un drapeau de toile juteuse dĠun pays
tranger
Fond de rue cran.
Fire salope dgrise coup de
morpions
Corps Nique ... nous voil !
Une voix teinte hurle en pixels
Etreintes
DĠinsanits subliminales ?
Non, toutes crues comme on boit le
coca-cola
Bio ... du Dernier Rivage.
Entendez vous le silence bruyant de
boyaux
Et le frottement des masques gaz dans
vos tranches
Et le cri - lĠunisson - des gars de
la Dernire
Les entendez-vous qui nous maudissent
Au plus profond de la flamme teinte
Du soldat dit lĠinconnu ?
(et
quand lĠautre godiche – en 1970 - ramne la femme, je crie Ç Au Fou ! Au
fou !)
Ja. Ja : Ç Da lobte ich die Toten, die schon gestorben
waren,
2 – Interlude sur un air populaire.
Et sĠil pleut sur Nantes
Je ne vous donnerais pas mon cÏur
chagrin
Mais de mes mains sales tordues et
fripes
JĠemboutirais les souvenirs de vos
involutions
Permanentes. Les voil qui accourent
Ë la queue-leu-leu au take out
De la mal bouffe tout est possible
Tant bien franais, que cruche lĠeau
Se casse. Pierrette sous le poteau laid
Et bb joufflu dans le panier
Au bras du loup grand-mre sĠen est alle
Pcher la crevette
Pays dpays dĠhier et
dĠaujourdĠhui
Tranches de dlation incluses
Va, va, va la catin au turbin syndique
Et quant choisir
Et mourir pour mourir
Y a rien choisir
Nous sommes condamns
Condamns se farcir jour aprs jour
Un peu chaque jour du pain de mort
(pour hostie)
Le futur, celui qui ne sĠinvente gure,
surimposition
Imagerie superpose sur page blanche
Et, hop, sĠefface ds quĠon sĠen sert,
la planche
A voile du futur, mais É dit donc Ç il
nĠy en a pas È
Et lĠhistorien officiel, lĠarrogant,
rarrangeant sĠempare
Chaque jour les journaux la gazette
Dbite ses tranches dĠamertumes
Guirlandes et drapeaux
Tambourinages de trompettes trompeuses
Cymbales lascives, tamtam
assourdissant
Hrosme soudard de la brousse
Soudures de lchet en bourse
Camouflages de bances par mots savants
Dracine lĠtymologie suinte
lĠignorance crasse
Ne retient grains de sable que pour
mieux
Engendrer le Dsert.
Et
pourtant
A bout portant
Souffle manquant
Malgr tout un mauvais film dĠhorreur
Gisant
Plantaire plait aux foules en continue
La populace accroupis - tronches hirsutes
Vtements lims dgaines couteuses
Vont aux urnes - funraires –
redites
de ces lus croupiers
la populace lasse et fiers imbciles
lisent toujours ce quĠelle mrite la garce
la Gueuse.
Raison impure triomphe de la raison
En son temple, htel de passe, souterrains
de Babel.
CEPENDANT
Entre lĠen de et lĠau-del des
vau-lĠeau
Vert de GRIS et Mont de Pit
Champs Magntique
Par monts et par vaux
IL Y A : IL Y A
Un A-mour Fou.
(Et le lecteur donne sa langue au
chat noir, cabaretier. Quand un Cavalier Bleu dĠun coup de pinceau le sceau
invisible)
C
– Epats
Les confis É
pats constatent, sans rendre leurs comptes,
que
a meurt en EPHAD pour toujours, selon
la bulle,
Le concile de haine en robes blanches
de loups en cage
En costard noir de brebis galeuses (comme il se doit)
Brave projet dĠIngouvernance magnifique publique finance
Another black hole in a killing zone.
Les paves ?
Mais voici ceux qui ont des oreilles
pour ne pas entendre
des yeux pour ne pas voir
des mains pour imposer des distances É
virtuelles
un nez et une bouche pour restreindre
la Spiration.
Ceux de la chanson biblique rengaine de
trop
Ou pour Epreuve .. oui ï Yes, Open a Star Gate in the Game
Or worst than being a loser, for them will happen. O
God
Godemich se ramassent
quĠimporte É et au Vent, oui de Tara
ensorcel
au cÏur des saisons arboricoles
LĠarbre demeure hors du temps de
lĠhorloge
pats les confis oublient, car
Les confis ne veulent pas mourir
Mme et surtout la Juste Heure
Cette Heure chacun donne
Pour ... peut-tre accd cette
Etoile
Mais excdant encore
les nÏuds du quadrillage
Fixent lĠinsensibilit du Calcul.
(Odeur
de camembert
Bouche
puante
Pour
lĠhonneur perdue de la France)
Rgime tatique
Sans laitage et bien laid
Sans pturages !
DĠautres vous referons le monologue
Du cru en crue dĠanimalit sauvage
Nomades de bistrot soda
Milk bar de catins blmes pour
Moutons dans la prairie sans petite
maison
Ha oui, oui, que
Mangent les loups - charms.
Et le Lycien Apollon invite Dionysos
Au Banquet de Platon
Selon les 5 saisons de la Mle Heure.
Rgimes, risibles efficacit dĠignares
Savants selon lĠerreur nomm vrit
dicte
Dans le temple de la gloire volteface
voltairien
Ne sont que rage de science
Par ncessit et fictive sans
conscience
Que Pascal se soit trangl entre deux
infinis
Voil le nÏud Gordien trancher !
Qui dsormais dfigure la France
De tout ct de son histoire ...
plantaire !
NÏud gordien Ç gory È
Que (le) Nul ne peut trancher.
Et (me) revient, comme un besoin de
vomir
Ç Little old lady,
In a big red room
Little old lady (bis)
Bourdonne
Marion Davies
Pendant
que Hearst, son ami depuis trente ans,
Dans
son lourd cercueil de cuivre... È
[5]
Le nom de Ç Hearst È
quĠimporte si cĠest pas lui
Evoque la Presse et tous les dcrpis
De pis en pis les journaleux
Qui refond le confis
DĠoie blanche et dĠidiots inutiles
Aux succs assurs
dĠune soumission consentie
Comme on trimbale son sac Monoprix
3
- Suite Ç Sans autre titre È
Et vĠl tĠy pas – passe moi
lĠponge - que a redouble
Inepties et contradictions en double
Double alination de torsion
borromenne
En nÏuds de ficelles tricolores voire
en Reine Beau
QuĠil pleuve ou quĠil fasse beau
On opine chapeau impermable toute
raison
Si raison veut dire ... quelque Chose ?
LĠentendement sĠy entend ... Ç
quoi ? È : il se terre
Pour se taire
On opine et opinant du chapeau on
accuse
Ç Cher ami - doux ennemi - cĠest
votre opinion È
Puis on se tait, on se fait un
piquenique citoyen
(Se
gardant bien dĠune Amiti plus certaine on sĠen remet la citation Ç aux
armes nos citoyens È et avec niaise complaisances et dlectations on rve
- on cauchemarde - ttes roulant sanglantes
vers ces piques encocards... juillet revient gueuse en chaleurs ...)
CĠest votre opinion !
Que a soit au caf ou la facult,
une cafeteria
On se ressort a tout vent comme on
sme son Larousse
(Son Wikipedia, ses Data)
Ç CĠest votre opinion È
A tout crin, tout va
Il nĠy a plus de vrit
Il nĠy a pas de vrits qui ne soient
le lendemain contestes
Ils nĠont pas vrifi ... ils ont ...
mais, il y a aussi que.
Que Ç couic È et lĠentrave
comme un ange niais de son nuage sĠcrie
CĠest votre opinion - ce nĠest pas vos
oignons
Allez buvons
Mais voil que a se complique
a se complique au point o
Vous avez lĠexprience de ce dont vous
parlez
Mais cela vient-il du Grand Laboratoire
DĠun Think Tank faisant autorit ce jour ?
(Think
Tank, caisson dĠisolation sensorielle (dernier cri) parfaitement tanche,
rfractaire tout penser qui ne soit pansement opiac ou coca inn)
Vous osez ne pas vous recommander de ce
caisson !
Alors aussitt opinant on vous dit
Ç Mon cher ami, cĠest bien plus
compliqu que cela È
Et puis enfin, il y a des experts
Vous tes expert mais vous nĠtes pas
la tl
Sur Internet vous tes invisible -
obscur
(Je
penche, en ce qui me concerne, tre un Dioscures Hracliten)
Et a se raffine et a se rtrcit
ainsi aujourdĠhui
Toujours plus
Les
confis dconfits en pleine confiture contradictions inaperues de jugeotes qui
ajoutent ces Ç cĠest bien plus compliqu que a È version vermoulue
de Ç chacun sa vrit È - au sens dĠopinion, point de vue. On ajoute un Ç voyez-vous, chacun
ragit cet vnement diffremment È et hop quĠon oublie le Rel qui lui
nĠappartient personne sinon lui-mme tout fait dnotant, terrible,
merveilleux comme Rel parfaitement imprvisible et pourtant tout aussi
parfaitement, comme lĠclaircie fulgurante Nuit, Abme. L o le But est
lĠOrigine : lĠAlpha non point un omga dĠhappy end dĠlus corns.
L se tient le Rel
Le Rel É contre quoi aucune assurance
peut nous garantir...
Et
voil la prsomption des trs minables hros de ce temps dĠindigence magique :
une entreprise de cryognisation (des cerveaux en capsules) sur la faille de
San Andrea ou sur un volcan. Bill Portail et sa ferme spermes et autres
grainetaille dans les glaces sur plates tectoniques en drive.
ï btise triomphante rvlant lĠinintelligence
de artificiel
Feux dĠartifices en eaux dĠartefacts
Lors dans un grand clat de rire
Eclat de rire qui se nomme (*)
...
qui sĠy comprend plutt que de vouloir
comprendre
Suspendra la geste de maitrise et
dĠinertie
Prmices du Saut par-del la Ligne ?
|
||
D
–
Et
lĠocan
Et lĠocan perdu
Derrire les murs de bton peints
De vagues tisss de cheveux de
plastiques
DĠorage peint de ficelles de chanvre de
Laines pltreuses
Blanc moutons de nuages peints
Contre le ciel desschs
Les visages des femmes et des hommes
masqus
Dcouvrent le mensonge ternel
Et prvu - cousu de fils lents et
blancs
De neige sale.
Tissu crissant comme des feuilles de
papier
Brles
Laissant encore percevoir
Les phrases interdites
Et
lĠos dĠun mort
Frappe
le tambour du chaman fantme
Et un vaisseau du tableau
SĠchoue sur le sol de carrelage mauve
La fuite dĠun conduit dĠeau morte
Ouvre une rigole de sang.
Une gamine farde
En robe de dentelle arsenic
Tient le couteau du pre assassin
La mre en pleurs enlace son amante
dĠun jour
Un mari regrette une maitresse
Perdue sur une autoroute
Un jour dĠorage.
Deux jumeaux se penchent au-dessus dĠun
jeune cadavre
Puis vont jouer sur la pelouse
Avec un ballon ensanglant
La lune invite pierrot jouer
Du trombone sous la fentre dĠune
maison en ruine
La fiance morte
SĠenvole : mille oiseaux de papier
!
Histoire commune.
Et
lĠos dĠun mort
Frappe
le tambour du chaman fantme
Un baigneur de cellulod
La tte tranche
Devant la tlvision grsillant
Est regard par un lapin en costume de
soire.
Bonsoir, comment allez-vous ?
(rires
et applaudissements enregistrs – une femme dans un vieux fauteuil de
moleskine pleure en fond vert en attente dĠeffets spciaux)
Depuis 10 jours la sainte famille
NĠest pas sortie.
Le rfrigrateur est vide
Il va falloir ouvrir les fentres
Des passants rares fument une dernire
cigarette
Du moins on en est persuad
On lĠa dit la radio
Tout partira de l
On lĠa dit. On le sait. De l
O il nĠy a plus de voix
Le silence mme est dsormais
Un effrayant bruit de fond
Comme cette radio qui se rallume
Dans la maison abandonn depuis
Depuis que Hitler est mort dans son
bunker
Avec Eva Braun belle blonde fane
Depuis ... oui.
Les dlateurs hantent toujours les rues
De cette France de tous les matins du
monde
Du monde sans magiciens.
Mais plein de calculs et de raison
draisonnables
Depuis ... toujours
Les rsistants sur lĠavenue dĠOrlans
Sont des ombres claires pleine morts
patriotiques
Ha dit le moi
Dit le moi, je nĠy crois plus
After all .We
can kill a world with words
Et
lĠos dĠun mort
Frappe
le tambour du chaman fantme
Il pleut sur la ville
Onde de nuages toxiques
Tchernobyl Armoise est oubli
Et Fukushima est le nom dĠune ville
japonaise
Ville comme les autres au bal masqu
dĠimmonde
Il nĠy a pas de pollen pour les
abeilles
Les arbres ont t arrachs
Les fleurs ont sch puises de
chaleur
Sous les vitres plastique des serres
Les moustiques É
Ç Dans la serre se dissipent des teintes brunes et bleues. CĠest le
dclin vers lequel nous allons.
L
o gisaient les morts dĠhier, des anges aux blanches ailes brises
sĠaffligent È
[6]
Arbres arrachs, fleurs dessches
Par raison dĠtat. Urgence. Sirne
Des enfants extraterrestres
Les yeux hagards hypnotisent
Leurs parents adoptifs devant des
poubelles jaunes et vertes
Puis les jettent du haut de faux
rochers
Dans une mer de cendres.
Un soleil pale blmit au-dessus dĠun
tang
Odeurs ftides
Les rats investissent comme
lĠhabitude
Les rues de la ville dserte des
humains
Humains blottis dans leurs hangars ou
marchant
En quadrilles vitant courbes ou
zigzags juges
Impertinentes. Dangereuses ?
Des drones invisibles sillonnent le
ciel dĠacier ... tandis que
De loin en loin tournant cureuils en
cage
Toujours spars par un mtre svre
DĠautres humains sĠoublient
Comme des paves de cauchemars.
Souvenirs dĠune promenade.
Et
lĠos dĠun mort
Frappe
le tambour du chaman fantme
E
–
Plis
selon plis
Aux surplis du silence fabriqu
Aux filigranes des choses touffes
SĠtend le cri interdit
Tel un divertissement somptueux
La sirne rouille au-dessus
dĠimmeubles
Effondrs tmoigne
Nihil Obstat.
Le monde est combl
De morts statistiques
De morts probabilits,
Immonde publi,
Nihil Obstat
Cependant dans un chant de la Mmoire
Les morts blancs squelettes
Venus de dates oublies
Bruits de tibias bruits de sabres
Les ensabls, les engloutis
Dans un chant de cette mmoire
Se lvent. Ils nous maudissent
Chant invisible quand
Audible est la vue dĠun dsert
Le dsert du faux silence renaissant.
Ce chant ? Quel chant ? Seul
lĠentend Mnmosyne
La mre des muses bafoues.
Les vieux infconds ont chass les
Anciens
Une jeunesse surfaite, statistique
Eteint lĠAvenir
Devant lĠcran gant du mensonge dĠEtat
Plaquant lĠoreillette
Habitude acquise dans un roman dĠOrwell
(en continu)
Le divertissement maitre Rgne
On se rgale
On acclame le nant
Aussi ne se plaint-on
Que pour y tre plus soumis encore
Ainsi sous la Tour Foudroye
La fosse de Babel
Tout en sĠeffrayant de lĠinvisible
nomm
Un Maitre Chien, oui
Un ver est couronn
Ainsi lĠinvisible prenant forme É
On calcule sur de beaux restes
Restes de projets pleins dĠinimitis
Pleins de ressources du calcul
Infiniment.
F
– Omnia
tempus habent
[7]
.
Le hasard toujours aboli
Voil en antistrophe lĠimplacable
tonalit de
Ces temps de dtresses oublies
Dans le temps sphrique
Jamais clos
Le souvenir dĠAVENIRS dposs
Ici, aujourdĠhui : les partitions de
Bern Alois Zimmermann.
Voici le requiem dĠun jeune pote
Jamais n mais encore appel
A la vocation du Silence
Silence ddi aux Nornes sous le Grand
Frne, qui
Sans rompre la Corde
Interrogent la brisure du temps.
Est-ce ... ?
Pour que le chant du pote
Le Nostalgique, lĠamant de la Nuit
Soit entendu ?
ÇUne
fois, une seule,
JĠaurai
vcu pareil aux dieux. Et cĠest assez. È
Mais ce pote, au pardon implor
Dans le repli dĠune colre leve
Comme foudre, le voici, rminiscence
Friedrich ou Scardanelli ou
Dionysos crucifi
AujourdĠhui lĠinvisible cod
Limite chaque pas perdu
A des lments de langage
Sophisteries de soldats dĠoprette
Efficacit de la fange sublime
De villes de nons stupfiants
Stupfiants lasers et pixels
Triomphe ignorant de lĠhubris
Voici les hommes du jour
Sous le joug
Du dieu plein de ressentiment
Hommes – le sont-ils - exigeant
dĠeux-mmes leur soumission
Leurs pertes en rhizomes clats.
Alors É Les Rampant
[8]
Rclament toujours la mort de dieu
Et les gloires criminelles
DĠun long sicle dĠutopies sanglantes.
G – Rminiscences
Oui, de ce monde - cran - ne rien
attendre
Attenter, en mesures, fidles
DĠun Ange falot et
Peu glorieux, voire sans mrites
Oui, de ce monde ne rien attendre
Mais
Des signes
Ne rien attenter qui ne soit
Figure dĠun Ange
Qui de la Nuit
Exonr
Accorde le sjour propre
Ë chacun mais bel et bien
De Quelque Chose
Qui depuis lĠOrigine
Nous attend.
Oui de ce monde ne rien attendre
Que des signes
DĠun chant.
Oui, de ce monde tout conspire pour
oublier lĠoubli
Diffusant lĠennui divertissant de jeux
Aplanissant les monts jusquĠau val
morne
Des dserts brls dĠun soleil qui
Dans un ciel dĠacier
NĠest plus le Soleil Dieu.
—————
Alors on squatte le nant
Pour viter lĠAbme
Un Cri et un Sourire
Le Dsastre É lĠoubli majeur
Des Etoiles
De notre ciel Intime
Oubli majeur encourag
Par les nomades mutants
———————
Allez laissez votre me
Ë la porte
Et entrez masqus
Un tel slogan
Mne hors de nous
L o nul nĠentend plus
Les signes
De lĠappel dĠune Prsence.
Alors presss
En nous sĠengage - quand faire ce peu -
La douleur anesthsie
LĠloge de la fuite
Prescrite par ordonnances.
—————————-
Ne rien attendre de ce monde
Mais la Nuit conseillres
Invite
LĠunit nue
Du L qui rsonne
Ë lĠoreille dĠun Dieu
Venant dans nos silences
Nos douleurs sereines
————————-
Qui parle ce matin dĠorage
De lune clipse ? de Rage
Qui parle
Derrire les nuages accumuls
Les beaux mensonges calculs ?
Alors derrire les nuits blanches
Calcines le calcul parachvera-t-il
Le got amre du dsert
De briques de bton et de fer
Et ce au nom dĠun dieu ?
Frigide prime moteur
Fiction numrique
Mathmes qui nĠenseignent plus rien
Rien lĠexprience intime
Oui, il nĠy a que semblants, que
simulacres
Derrire lesquels dĠautres simulacres
Achvent le monumental expire
De lĠoccident dsorient.
LĠattachement de tels simulacres
De telles ombres et rves en
cauchemards
Ne rend plus compte de lĠcret
LĠcret du monde o se brise
La terre en maux et contre maux
Toujours le calcul
JusquĠaux dmonstrations
De lĠexistence de Dieu
Dieu qui en ligne droite met
Chape de plomb
pesanteur sur la face du soleil invaincu
Dieu qui insistant rsoudrait le
Mystre
Fini par appliquer son nihil
Sans limite, nom dĠun refus
Refus spectral
De lĠEpreuve qui nous exalte
En prsentant la Mort
La sphinge dĠor endormie
Le Portail entrouvert
Et la Colombe ptrifi sur le seuil
Sourit dans lĠair pesant dĠun premier
soir
DĠoutre tombe.
|
||
H. MAIS A CET HEURT É
Oui, cet HEURT, cette Frappe du
glaive de feu (XX, XVI) le Cristal libr de sa gangue, soleil de Nuit au cÏur
de la Montagne enfin exposs la douleur, les ds-errants dans lĠA-temps
reconnaissent, en lĠHiver ce Minuit (XV), lĠHEURE.
Oui, lĠHeure est venue o tel un
coquelicot au printemps, en t, o tel lĠaster en automne, dans les friches
renouveles poussent joyeusement ...
Oui, lĠHeure, enfin, est venue o
telles ces fleurs ingrates, toutes les herbes mchantes, le fol avoine des
terrains vagues retrouvs, les tranges vgtations de nos faades fissures,
telles ces plantes qui nĠont pas attendu la btise savante des architectes pour
faire le mur, ces plantes poussent joyeusement ...
Oui, lĠHeure, enfin est venue o telles
toutes les fleurs qui ne sont pas en serres, coupes pour faire des bouquets
loin, loin de toute Beaut (IKI), bouquets Nature Morte pour artistes
sĠvertuant copier, imiter la Ç nature È. Tel lĠavion incapable de voler
tombe horizontalement dans un ciel mort, ciel parabolique o la star de cinma
interdit lĠaccs lĠEtoile (XVII).
Oui, enfin lĠHeure est venue de nous
confier comme fleurs dans le cristal, nous confier PHUSIS qui Ç aujourdĠhui dans un fracas
dĠarmes sĠest veille... È
Cette Heure ? La Septime ? Je le crois
bien puisque, dsormais, il le faut, le but est la source qui inspire et que
Neuf chiffre ce temps dĠhistoire achev. Neuf effacera le calcul.
Oui, voici lĠHeure du Sacr Ç ... das Heilige sei mein Wort È, lĠHeure de se confier en É [9] |
İ A.R.G Alain R. GIRY Printemps –
Et (saisons abolies) de cette anne 2020
[1] Ç je regardais
alentour et vis partout Injustice perptre sous le soleil È Titre de la
dernire Ïuvre de Bernd Alois Zimmermann. Titre tir de lĠEcclsiastique.
[2] Yod H Waw H = 26 = un nom du Dieu biblique.
[3] Gottfried Benn, Ïuvres p. 38, 37 p. 61
[4] Ç Je
glorifiais les Morts, les Dcds plutt que les vivants sĠagrippant la
vie È
[5] Gottfried Benn
p.371
[6] Georg Trakl, Îuvres p.222
[7] Un temps pour
chaque chose. Titre dĠune Cantate pour soprano et 17 instruments de Bern Alois
Zimmermann. Titre tir de lĠEcclsiastique
[8] Les Rampants,
groupe dĠanonymes masqus dans mon thtres incomplets : une pice
exprimentale (1969 – 70)
[9] Ç Phusis È que nos bons mdecins ignorent savamment sous le nom de nature (biologie, physique) ce depuis la chasse aux sorcires, Sorcires qui seules, en ce pauvre occident dnatur par le romano-christianisme, taient Dtentrices dĠune vraie Connaissance. Heureusement elles le sont encore parmi les rares, les peu nombreux, l o demeure un Village, une Clairire Ç where, to each Anthropos, is given, by his Damon, Abode È Hraclite NĦ126.